Isabel Ríos Gómez
Quem tem medo de Cristina Kirchner?
Un artículo de Jéssica Melo que puede visitarse pinchando aquí
Seminario Cuerpo y explotación
Filosofía del cuerpo: exclusión y dominación
Un artículo de presentación de nuestra Cátedra en el número 13 de la revista Filosofía & Co, cuyo índice puede verse en este enlace.
Artículo en Revista Común: «El trumpismo, fase superior del neoliberalismo»
Alejandro Estrella Gonzalez está realizando un serial dedicado a analizar el fenómeno trumpista en las páginas de la Revista Común, un problema que no se deja capturar bajo etiquetas clásicas y que requiere un comentario pormenorizado: «¿Es el trumpismo un fenómeno nuevo o no es más que una suerte de “neoliberalismo gamberro”?, ¿es una reencarnación de los fantasmas del pasado estadounidense, una hauntología convertida en pesadilla, o un nuevo orden que rompe radicalmente con el presente y nos empuja hacia un futuro desconocido? ¿Cuál es la particular textura temporal del trumpismo? Nuestra incapacidad para clasificar un proceso aun en marcha se revela en la proliferación de etiquetas que hoy circulan en cientos de textos: fascismo, posfascismo, neoconservadurismo, ultracapitalismo, paleolibertarismo, derecha extrema, tecno-feudalismo, y así…»
A lo largo de cinco textos (iremos actualizando), Alejandro Estrella traza la siguiente hoja de ruta: un análisis de la ideología de los intelectuales de la nueva reacción y de cómo construyen imaginario social en los artículos II y III; cómo este se entrelaza en las distintas posiciones de clase en el artículo IV y, por último, cómo encaja el trumpismo en un contexto político y económico marcado por el declive de la hegemonía norteamericana en el artículo V. Puedes leer los primeros artículos aquí:
El trumpismo, fase superior del neoliberalismo I: De lo viejo y lo nuevo
El trumpismo, fase superior del neoliberalismo II: El ojo de la cerradura
Artículo en Revista Común: «Una teoría de los vestidores»
Pablo Beas, como invitado en la columna σῶμα, escribe sobre el concepto de «explotación cultural» retomando la discusión con las columnas precedentes. El objetivo es proporcionar, mediante fragmentos de entrevistas, una aproximación más detallada al concepto y señalar una importante ambivalencia: la explotación cultural permite al explotado extraer beneficios simbólicos gracias al acceso a nuevos espacios, pero, en ocasiones, la asunción de la norma implica altísimos costes en forma de una violencia que destituye a los sujetos de la ciudadanía. Lee el texto completo aquí.
Participación en Jornada: “Les lectures de Rancière. Usages, torsions et déplacements de l’histoire de la philosophie ”
El próximo 21 de mayo José Luis Moreno Pestaña participará en unas jornadas en homenaje al filósofo Jacques Rancière. Tendrá lugar en la Université Paris 8 | Salle D011, 2 rue de la Liberté, 93200 Saint-Denis (M° Saint-Denis Université), París. La información es la siguiente:
Dans les différentes étapes de son œuvre, Jacques Rancière a constamment dialogué avec l’histoire de la philosophie. Ses textes réagissent aux débats intellectuels du présent et s’engagent dans une conversation avec les travaux de ses contemporains. Mais les classiques de notre tradition philosophique – d’Aristote à Hobbes, de Kant à Sartre – sont également des interlocuteurs habituels de sa réflexion sur la politique, l’esthétique, l’histoire et l’éducation. Certains de ces dialogues se manifestent par des confrontations directes : c’est le cas de la polémique avec Althusser dans les années 1970 et avec Bourdieu dans la décennie suivante. D’autres changent d’intensité et voient les textes de référence se remplacer au fil du temps, comme celui qu’il entretient avec Platon depuis Le philosophe et ses pauvres(1983) jusqu’à La haine de la démocratie (2005). Certains témoignent d’une dette, comme avec Foucault dans La leçon d’Althusser (1974) ou avec Kant et Schiller dans Le partage du sensible (2000). D’autres marquent une rupture théorique, comme celle qui se produit avec Foucault lui-même dans les pages de Les Révoltes logiques.
Certains dialogues sont explicites : avec Habermas dans La Mésentente (1995), ou avec Debord dans Le spectateur émancipé (2008). D’autres, peut-être une part importante, sont implicites et se construisent par des commentaires allusifs, des références indirectes sans citation, des lectures obliques des textes, des réappropriations déplacées des idées. Rancière ne suit généralement pas les conventions académiques pour critiquer les idées des autres : restitution systématique de la théorie de l’auteur, réfutation de thèses problématiques, opposition d’idées alternatives, etc. Il n’explique pas d’autres auteurs et ne s’explique pas non plus devant eux. En général, lorsqu’il prend part à un débat philosophique, ce n’est pas pour confronter sa « théorie » avec celle des autres, mais pour déplacer les termes de la discussion et interroger les certitudes sur lesquelles elle repose. Ses lectures ne se concentrent jamais sur l’intégralité d’une œuvre ou la totalité de la philosophie d’un auteur. L’intervention de Rancière opère sur l’« échantillon » : un concept, une idée, un passage bref d’un texte à partir desquels il s’agit de restituer la logique ou d’identifier l’aporie d’une pensée, ou simplement de mettre en scène une mésentente.
Dans cette journée d’études, nous souhaitons interroger la manière dont ces gestes caractéristiques de la pratique philosophique de Rancière façonnent ses lectures de l’histoire de la philosophie. Cette manière si singulière de dialoguer avec la tradition est-elle délibérée ? Est-elle justifiée dans tous les cas ? Entretient-elle une relation avec les engagements théoriques, méthodologiques ou stylistiques fondamentaux de l’œuvre de Rancière ? Existe-t-il une correspondance entre la manière dont Rancière lit, fait et écrit la philosophie ? Nous aimerions dresser un répertoire des auteurs avec lesquels Rancière dialogue et interroger les raisons et modalités de ces dialogues. Nous souhaiterions également identifier les « arcanes » de sa philosophie, découvrir si, au-delà de ses interlocuteurs manifestes, ses textes contiennent des références cachées, des dettes inavouées ou des conversations silencieuses avec des auteurs inattendus de l’histoire de la philosophie. Nous souhaitons aussi expliciter les affinités possibles entre sa pensée et celle d’autres philosophes que Rancière semble ignorer ou feint d’ignorer, mais aussi les interpellations que certains auteurs contemporains ont adressées à son œuvre et qui demeurent sans réponse. Enfin, nous nous intéresserons aux torsions du canon opérées par les lectures de Rancière de l’histoire de la philosophie. Rancière élargit le canon de la philosophie (Gauny, Jacotot, la « voix » ouvrière), mais il déplace aussi ses frontières et les partages disciplinaires établies entre la philosophie et d’autres disciplines.
En somme, suivant une idée de H. Vincent , l’objectif de cette journée est de réfléchir sur les lectures de Rancière dans le double sens du terme : il s’agit de se demander ce que Rancière fait de l’histoire de la philosophie et ce que l’histoire de la philosophie fait de lui. Quelle place Rancière occupe-t-il dans cette histoire ? Sa philosophie indisciplinée échappe-t-elle au canon ? Que devient l’œuvre de Rancière lorsqu’elle est lue, interprétée, commentée, transmise en tant qu’œuvre philosophique ?
Programme
9h15 : Accueil.
9h30 : Introduction.
- 9h40 : Elise Huchet (Universiteit Utrecht) – « Reconnaissance et conflictualité : la critique ranciérienne de la théorie de la reconnaissance d’Axel Honneth ».
- 10h10 : José Luis Moreno Pestaña (Universidad de Granada) – « Rancière lecteur de Bourdieu et Passeron : un conflit sur le lien entre connaissance et démocratie ».
- 10h40 : Discussion.
11h : Pause.
- 11h10 : Alfredo Sánchez Santiago (Université Paris 8) – « La leçon de Foucault dans La leçon d’Althusser ».
- 11h40 : Orazio Irrera (Université Paris 8) – « Remarques sur la lutte de classe, les illégalismes et les codages moraux. Rancière auditeur des cours de Foucault ».
- 12h10 : Discussion.
12h30 : Pause déjeuner.
- 14h30 : Anders Fjeld (Kulturakademiet Paris) – « Rancière lecteur du jeune Marx (1961-1974) : mille marxismes du communisme français ».
- 15h : Giovanni Campailla – « Rancière lecteur de E. P. Thompson ».
- 15h30 : Discussion.
15h50 : Pause.
- 16h : Fabienne Brugère (Université Paris 8) – « Ce que le régime esthétique doit à Kant et à Schiller ».
- 16h30 : Zilong Zhao (Sorbonne Université) – « Rancière en traduction ».
- 17h : Discussion.
17h20 : Clôture.
Nueva publicación en Archivos: “Inconsciente, cosificación y democratización en Historia y conciencia de clase”
José Luis Moreno Pestaña acaba de publicar en la revista Archivos (nº 26) presento una lectura de Historia y conciencia de clase, de Gyorgy Lukács, en la que destaco, en primer lugar, la concepción del inconsciente presente en la obra y, en segundo lugar, cómo puede desarrollarse una práctica de democratización que vuelva explícito lo oscurecido en la práctica social. El artículo propone un eje de lectura original de la relación entre cosificación y democracia. El artículo completo puede consultarse en este enlace.
Presentación de la Cátedra Extraordinaria de Filosofía Social de la Discriminación corporal en París: “¿Qué significa la discriminación corporal en el trabajo?”
El próximo jueves 22 de mayo se presentará la Cátedra Extraordinaria de Filosofía Social de la Discriminación corporal en el Colegio de España de París, en una actividad organizada por Alfredro Sánchez Santiago con la participación de José Luis Moreno Pestaña. Tendrá lugar a las 18h.
Presentación de la Cátedra y seminario en Milano-Bicocca
José Luis Moreno Pestaña y Pablo Beas Marín presentarán la Cátedra Extraordinaria de Filosofía Social de la Discriminación Corporal en la Università degli Studi di Milano-Bicocca en el marco de los Seminarios de Teoría Crítica organizados por Vittorio Morfino el próximo 7 de mayo de 2025. Además, impartirán la conferencia titulada «Sfruttamento economico e sfruttamento culturale nel mercato del lavoro». Este enlace contiene el powerpoint de su presentación.
Entrevista a Moreno Pestaña en Émulations: « Les travailleur·ses ne sont pas de petit·es capitalistes du corps et de son esthétique, sauf dans certains cas spécifiques »
José Luis Moreno Pestaña ha sido entrevistado por Camille Couvry y Marion Braizaz para la revista Émulations. Revue de Sciences Sociales. En esta entrevista, discute los límites de la conceptualización de la belleza como capital (a la luz de las teorías marxiana y bourdieusiana) y subraya que la apariencia no siempre puede ser entendida como tal, sobre todo porque también depende de la individualidad. Moreno Pestaña hace un llamamiento a desarrollar investigaciones que permitan explorar en qué configuraciones puede considerarse la apariencia como un capital. En su opinión, los sociólogos tienen un papel que desempeñar en la documentación de las formas de desigualdad relacionadas con la estética corporal. Lee la entrevista completa aquí.
Artículo en Revista Común: «El Debate Brenner: lucha de clases y coacciones de mercado en los orígenes del capitalismo»

Alejandro Estrella González continúa en este artículo para la Revista Común su indagación sobre los orígenes del capitalismo a partir del texto de Robert Brenner “Agrarian Class Structure and Economic Development in Pre-industrial Europe”. El escrito de Brenner, ubicado en un denso debate acerca de la transición al capitalismo, plantea una interpretación que se distancia de los análisis precedentes que ponían el acento de la transformación en el papel del mercado como motor de cambio (Pirenne) o en los cambios demográficos (Postan, Hatcher). En efecto, para Brenner: «el poder de clase determinaba la forma en la que el factor demográfico y comercial afectaría, a largo plazo, al modelo de desarrollo económico». Lee el texto completo aquí.
Entrevista a Mario Espinoza sobre el derecho a la vivienda
Se ha publicado en El Salto una entrevista a Mario Espinoza, miembro de este grupo y coautor de De la especulación al derecho a la vivienda (Traficantes de Sueños, 2018), sobre la crisis de la vivienda que atraviesa el Estado español y las diferentes opciones de reapropiación y el uso social de este bien básico. La entrevista completa puede leerse aquí.
Conmemoración del natalicio de Manuel Sacristán en la Universidad Autónoma Ciudad de México
El próximo jueves 20 de marzo tendrá lugar una jornada de debate en torno a la obra del filósofo marxista Manuel Sacristán en la UACM, otra de las actividades convocadas en conmemoración del centenario de su natalicio. Las mesas redondas “La práctica de la teoría en Manuel Sacristán” y “Relevancia del pensamiento de Sacristán para el pensamiento contemporáneo” contarán con la participación de José Luis Moreno Pestaña. Para más información, es preciso ponerse en contacto con nosotros.
Seminario “Literatura e ideología” (UCM): “El inconsciente ideológico y la historización del cuerpo”
El próximo jueves 20 de marzo tendrá lugar una sesión del seminario «Literatura e ideología» en la Universidad Complutense de Madrid, donde Violeta Garrido intervendrá para situar la obra de Juan Carlos Rodríguez como contribución notable a una historia del cuerpo. Será a las 18:00h en el seminario D-315 de la Facultad de Filología y también se podrá seguir online.
Debate acerca de la Renta Básica Universal (RBU)
A propósito del intercambio de artículos en la revista Común que mantuvieron el verano de 2024, Alberto Tena y Jesús Ángel Ruiz Moreno debatieron durante una hora sobre las ventajas y dificultades a las que se enfrenta la Renta Básica Universal como propuesta de desmercantilización (parcial) de la fuerza de trabajo dentro de las relaciones sociales y de propiedad capitalista actuales. Se puede ver pulsando el siguiente vínculo.
Participación en el dossier especial sobre Javier Egea de Revista Quimera
José Luis Bellón Aguilera acaba de publicar el artículo “Fuimos Argentina 78, ahora somos Paseo de los tristes” en el dossier especial dedicado al poeta Javier Egea de la conocida Revista Quimera. En él, recorre las condiciones de producción del poemario Argentina 78 para desvelar el sentido de algunos de sus versos. El artículo puede leerse aquí.
Conferencia en el ciclo Jameson: “El inconsciente político”
El pasado 22 de enero, Violeta Garrido impartió una conferencia en el Círculo de Bellas Artes de Madrid, en el marco del Ciclo de conferencias dedicadas a la obra de Fredric Jameson “La forma del tiempo”. La conferencia estuvo dedicada al concepto central de inconsciente político.
Vídeo del acto “Manuel Sacristán (1925-1985), hoy: aproximaciones a su legado”
Publicación en el canal de You Tube “Miradas al mundo-IPAZ-UGR” de la grabación de la sesión de “Miradas al mundo” celebrada el 27 de enero de 2025. Corresponde a la cuarta sesión del curso 2024-25. Tuvo en el Salón de Actos “Francisco A. Muñoz” del Centro de Documentación Científica de la UGR. Se pudo asistir también por videoconferencia.
“Miradas al mundo”, es un espacio de análisis, reflexión y debate sobre conflictos sociales relevantes, en el contexto de construcción de la paz, creado por el Instituto de la Paz y los Conflictos de la Universidad de Granada (IPAZ). En la página del Instituto, en la sección dedicada a “Miradas al mundo” (http://ipaz.ugr.es/seminarios-miradas-al-mundo/) hay información sobre todas las sesiones celebradas y sobre las próximas sesiones confirmadas. Esta sesión estuvo coorganizada por el IPAZ, el Grupo de investigación en Humanidades Ecológicas de la Universidad Autónoma de Madrid, GHECO-UAM y el Grupo de investigación en Filosofía Social HUM-1036 de la Universidad de Granada.
Más información sobre todas las actividades organizadas con motivo de la celebración en 2025 del centenario del nacimiento de Manuel Sacristán (1925-1965), aquí: www.sacristan2025.org
Nuevo artículo en Critique: “Class epistemic position and collective unconscious: the Lukacsian unconscious in History and Class Consciousness”
Violeta Garrido acaba de publicar un artículo en la revista anglosajona Critique, donde examina la teorización de Lukács sobre el inconsciente, no como una fuerza libidinal o instintiva, sino como un mecanismo epistémico y automatizador que influye en las acciones de los agentes. El estudio aborda en primer lugar la necesidad de que el marxismo se comprometa con el concepto de inconsciente, estableciendo paralelismos con la tradición psicoanalítica. A continuación, considera la concepción de Lukács de la historicidad de la conciencia y el proceso de cosificación que crea barreras epistémicas inconscientes. El artículo explora además el potencial de la clase oprimida para superar estas barreras, y destaca las estrategias para la toma de conciencia y la superación del inconsciente en las obras posteriores de Lukács. Al proporcionar un análisis matizado de la intersección entre el marxismo y el inconsciente, este artículo ofrece nuevas perspectivas sobre cómo los procesos inconscientes afectan a la agencia y la conciencia dentro de un marco histórico y social. Se puede acceder al artículo en este enlace, y para acceder a la versión completa del mismo se ruega mandar un correo electrónico a la autora.